vacances

Après la vacancière, le vacancier ...

(qui devrait parfaire son espagnol durant quelques jours !... )

 La Châtre, le temps de nourrir le Delphin et de faire quelques provisions,

le camping de Saint-Benoît

où, en fin d'après-midi, Nathalie, Loïc et Théo nous rejoignent pour un dîner en famille

avant notre départ le lendemain matin pour la Galice.

Angoulême,

Périgueux,

 repas à l'auberge de la "Faim de loup" de Bordas,

(soupe, assiette de charcuterie, saucisses-frites, fromages et glace,

le tout pour 12 euros par personne, boissons comprises ;

de quoi rassasier de grandes, d'énormes faims de loup !...),

Bergerac,

Marmande

et l'écomusée de l'Armagnac qui accueille les camping-caristes (étape France Passion).

Le domaine de Gayrosse, connu également sous le nom du Château Garreau,

s'étend sur 80 hectares, à cheval sur les départements des Landes et du Gers.

Sa situation, au cœur du Bas-Armagnac,

à proximité de la superbe cité médiévale (XIII^ème) de Labastide d'Armagnac,

(que nous avions découverte en mai dernier), en fait un des plus beaux fleurons de l'Armagnac. 

Visite du musée du vigneron et des alambics, ... 

dégustation  du floc de Gasgogne et de l'armagnac,

achats

et ... installation du campement pour la soirée et la nuit.

Journée chaude mais soirée rapidement fraîche

avec un temps couvert au réveil.

Repas de midi à Saint-Jean-Pied-de-Port,  près du gymnase

 à deux pas de l'aire de stationnement entièrement occupée,

et à quelques encablures de l'Espagne,

arrêt, dans les nuages avec une température plus que fraîche, au col d'Ibañeta,

sur les pas de Rolland,

avant de gagner Roncesvalles,

Pamplona,

Logrono,

et le camping de Navarrette où nous avons nos habitudes.

Et encore des vignes, des vignes, des vignes ...

 la Rioja étant une région produisant un excellent vin ...

Pas question de repartir sans quelques bouteilles !

Après notre escapade morvandelle, et avant de regagner Lignières, arrêt repas à Apremont.

 Promenade apéritive dans ce village pittoresque de style médiéval,

classé parmi "les plus beaux villages de France".

"A l'origine, Apremont était un village de carriers;

les nombreuses carrières fournissaient en abondance des pierres de taille,

acheminées ensuite sur des bateaux à fond plat sur l'Allier, puis sur la Loire,

pour la construction d'édifices religieux comme la cathédrale d'Orléans

ou l'abbaye de Saint Benoît sur Loire."

Une des maisons du XV^ème, devant l'ancien port d'embarquement,

porte encore le nom de maison des mariniers."

Chaque entrée du village possède son lavoir

 (d'ailleurs fort bien préservés tous les deux).

Puis découverte du parc floral ouvert depuis 1977 et créé par Gilles de Brissac.

Conifères,

caduques,

arbustes à fleurs,

plantes vivaces,

ainsi que le fameux jardin blanc

que l'on découvre tout en flânant sur l'herbe épaisse du gazon,

en allant du belvédère au pont chinois tout en passant par le pavillon turc.

Une balade agréable avant de retrouver notre modeste jardin

et de profiter durant deux jours du pôle du cheval et de l'âne

avec Nationale, bien entendu,

mais aussi promenade en calèche

et préparation, avec mamie, de la réunion de courses à l'hippodrome.

Une semaine bien vite passée ...  avec notre estivante ...

 en attendant de prochaines vacances !

Nuit tranquille au bord du lac,

  petit déjeuner un peu tardif,

(qu'il fait bon dormir en matinée !...),

avant de partir pour les grottes d'Arcy - sur - Cure

que nous visitons après le repas de midi pris sur le parking.

50 ans (déjà!) que j'y étais venue en voyage scolaire

à la fin de mon année de troisième !

 Visite intéressante, au frais, (12 °C),

avant de poursuivre la journée jusqu'au lac des Settons.

Lac artificiel de 367 hectares, alimenté principalement par  les eaux de la Cure,

au cœur du parc naturel régional du Morvan, 

il est issu de la construction d'un barrage de 20 mètres de haut

destiné à réguler la navigation sur l'Yonne et 

à faciliter le flottage du bois jusqu'à Paris. 

Installés sur l'aire pour camping-cars,

un petite balade nous permet une découverte des lieux ...

quelques renseignements sur une éventuelle promenade en bateau

avant de s'octroyer un petit rafraîchissement, bien mérité !

Voyons, voyons, que vais-je bien pouvoir choisir ?

  Soirée d'été,

 petit yams,

et sommeil réparateur dans un silence appréciable,

que seul le boulanger viendra troubler au petit matin ...

A nous croissants et pains au chocolat !

Marche matinale au bord du lac,

promenade digestive en bateau

et départ pour notre visite à Volt ...

il a bien changé le petit !

on regretterait presque de l'avoir vendu.

Baptisé Vito par ses nouveaux propriétaires,

il est toujours aussi calme et tranquille,

et devrait faire un bel étalon.

Une randonnée s'impose,

quelques préparatifs et ... c'est parti !

Mademoiselle semble très à l'aise sur sa monture...

Plaisir de la promenade certes,

mais aussi soins à Volt au retour

avant de le reconduire au pré avec son compagnon.

Soirée avec nos amis morvandiaux,

discussions autour des ânes et des randonnées, faites et à faire,

avant de regagner notre Delfin ... garé sur place.

Un dernier petit coucou au matin avant de se préparer à regagner notre Berry.

Pas de souci Volt, tu es dans une bonne maison

et, bien sûr,  nous reviendrons te revoir dans quelques temps ...

Soleil et ciel bleu,

une météo engageante pour notre départ vers Saint-Fargeau.

Notre "miss" a pris ses marques ...

 tout est au top pour quelques jours de détente ...

Stationnés sur la toute nouvelle aire pour camping-cars,

 la visite de cette petite ville de Puisaye, pleine de charme, va de soi :

  (ville d'ailleurs jumelée avec Hermeskeil en Allemagne, ville natale de Michou), 

 son beffroi, unique vestige de la première enceinte édifiée au XV^ème siècle,

son château, bien sûr,

dont l'histoire s'étend sur plus de10 siècles.

Rendez-vous de chasse fortifié au X^ème siècle,

il eut pour propriétaires des familles illustres :

Jacques Cœur, l'argentier de Charles VII,

et surtout Anne-Marie Louise d'Orléans,

la Grande Mademoiselle, cousine germaine de Louis XIV, ...

Jean d'Ormesson y passa son enfance

et s'en inspira pour écrire son roman "Au plaisir de Dieu".

Depuis 1979, il est la propriété de Michel Guyot, berruyer,

qui a entrepris un long travail de restauration.

Avant la visite guidée des appartements meublés,

une découverte des diverses salles nous mène jusqu'au grenier  :

un tour complet des charpentes à travers 4 siècles d'histoire à 30 mètres du sol !... 

Puis promenade dans le magnifique parc anglais

planté de chênes centenaires où, chaque année,

un grand spectacle y est donné les fins de semaines de juillet et d'août ;

pas de chance pour nous, nous étions sur place une semaine trot tôt ...

mais nous avons bien profité de la répétition !...

Un petit moment de repos,

pas le même pour tous ...

avant une marche dans la ville et le retour au Delfin.

Après l'orage de la nuit, la journée ne s'annonce pas aussi belle que la veille ;

en effet, c'est avec la pluie que nous plongeons au cœur du Moyen Age

en arrivant sur le chantier médiéval de Guédelon.

Avec la pierre et le bois d'une ancienne carrière boisée, 

40 œuvriers bâtissent un château fort selon les techniques du Moyen Age :

carriers,

tailleurs de pierre,

maçons,

bûcherons, charpentiers,

forgerons,

tuiliers,

cordier,

vanniers,

charretiers,...

  Cette année,

les œuvriers devraient terminer la chambre seigneuriale du premier étage de la tour maîtresse

et attaquer le niveau suivant.

Ils achèveront le sol de la grande salle et la chambre des invités avec la pose des carreaux de pavement.

 Un petit tour dans la cuisine avant de déjeuner à la taverne,

une promenade dans le village,

sans oublier, avant de partir, d'assister au spectacle un peu fou d'un magicien talentueux et  .... 

d'aller encore une fois dans le carcan ... elle semble y prendre goût !

  Le soleil revenu, nous nous installons pour la nuit au camping de Saint-Sauveur en Puisaye,

camping sympa dans le parc des Joumiers en bordure du lac.

 Les campings-car n'étant pas tolérés au bord de l'eau à Puebla de Sanabria (Espagne),

c'est à Galende, non loin du lac, que nous choissons de nous installer pour la nuit.

La place du village est grande et commerçante,

nous en profitons le lendemain matin pour y  faire nos emplettes.

Après un réveil difficile pour Micheline et Jean-François ...,

nous reprenons la route :

landes, taillis,

 bergers avec leurs moutons,

 villages quasiment morts,

 zones humides voire marécages

 avant d'atteindre une région céréalière aux environs de Benavente ;

 nombreuses maisons et pigeonniers en piset,

de l'élevage industriel,

la plaine et ... la sécheresse.

Arrêt repas à Palencia (sur l'aire de stationnement pour C-C), près du canal de Castille,

le temps de manger une paëlla,

(il faudrait prendre, je pense, le temps de s'y attarder ... mais les vacances sont terminées !)

puis direction Burgos avec de jolis champs rouges de coquelicots,

de la petite montagne (1150m) dans la Serra

et Santo Domingo de la Calzada,

et son poulailler dans la cathédrale.

Jean-François n'en revient pas !

Pas grande différence entre l'histoire du coq de Barcelos

et celle du coq et de la  poule de Santo Domingo ...

Traversée de la région du vignoble de la Rioja,

 soirée étape au camping de Navarette

(que nous trouvons avec beaucoup de peine puisque même les deux camping-cars se sont perdus de vue !) 

et achat de quelques bouteilles.

lLe lendemain matin, Micheline se réveille avec la chique ... il est temps de rentrer au bercail !

Repas de midi en altitude (1057m)

puisque nous déjeunons à Ronceveaux,

où nous croisons un pélerin italien à qui nous souhaitons, il va de soi, un bon camino.

Saint-Jean Pied de Port ,

(une pharmacie devient indispensable pour palier à l'abcès naissant),

et en fin d'après-midi

une aire de camping-cars sympa à Labastide d'Armagnac,

au nord-est de Mont de Marsan,

dans un cadre vraiment agréable, auprès d'un lavoir.

Au matin, petit tour au village,

pittoresque bastide landaise fondée en 1291,

dans laquelle, paraît-il, Henri IV aimait se rendre.

Je ne sais si ce village est classé parmi les plus beaux villages de France,

 il le mériterait bien.

Traversée des Landes et du Périgord avec un arrêt restaurant à Sarliac l'Isle,

puis dernière ligne droite  jusqu'à Lignières

sans oublier une halte à la Coquille, le temps de faire un petit coucou à tonton Jojo !

   Le mois de mai est terminé, notre voyage aussi :

il faut inévitablement revenir pour pouvoir repartir.

Un grand merci à Micheline et Jean-François qui nous ont concocté un bel itinéraire,

 nous permettant  de découvrir le Portugal et toutes ses richesses. 

   Dernier jour,

dernière visite,

dernier "resto", ...

et eureka !

 soleil !

Nous portons notre dévolu sur l'abbaye Saint-Vincent de Nieul-sur-l'Autise,

située en bordure du marais,

témoin majeur du patrimoine vendéen.

Fondée en 1068, elle a bénéficicié de la protection des comtes de Poitou et des ducs d'Aquitaine.

En 1141, Aliénor d'Aquitaine, reine de France, lui accorde le statut d'abbaye royale.

Et, comme la chance est avec nous, nous profitons de l'animation du vendredi,

"Les ballades d'Aliénor".

"Richard Cœur de Lion,

accompagné de trois musiciens,

nous raconte l'histoire de sa mère, Aliénor d'Aquitaine :

  une vie exceptionnelle dont la personnalité raffinée et bouillonnante a marqué la France et l'Europe."

Puis voyage virtuel dans la Maison d'Aliénor,

au cœur de la vie monastique du XIIème.

Comme dans un jeu vidéo,

confortablement installés dans une chaire,

nous visitons, en 3D, des espaces reconstitués de l'abbaye,

écoutons Prosper Mérimée,

et survolons les abbayes de Vendée...

Repas de midi à l'auberge du Cloître de Nieul,

afin de goûter aux anguilles et aux cuisses de grenouilles du marais tout proche,

arrêt au camping de Saint-Benoît

puis direction  Poitiers avec Loïc venu chercher Théo,

 sans oublier de réfléchir déjà aux prochaines vacances !

Dîner en famille et nuit poitevine en attendant de retrouve notre Berry ...

Dernière étape de nos vacances estivales avec Théo,

Coulon,

charmante petite ville du marais poitevin,

peut-être un peu trop envahie de touristes en bonne saison

mais bien calme cette année !

Installation sur la grande aire pour camping-cars, à deux pas de la ville et du marais,

repas,

et, comme le soleil semble vouloir s'installer,

 en guise de sieste, découverte du marais en barque.

 Confortablement assis dans une plate, (barque traditionnelle),

nous nous laissons conter le marais par notre batelier.

"Deuxième zone humide de France après la Camargue,

il est né du mariage de la terre et de l'eau et du travail forcené des hommes..."

Calme, silence, sérénité, ...

une vraie cathédrale de verdure !

(Il n'y a pas que des maraîchines ... aux yeux de biches dans les prairies du marais !) 

Pêché de gourmandise

avant une petite marche dans le village

 puis jusqu'à la maison bleue,

véritable carte postale des lieux.

Et ... oh ! surprise, en soirée, cinéma de plein air, à deux pas du camping-car,

 avec le film réalisé l'an passé par Allain Bougrain-Dubourg

que nous avions rencontré à Arçais, à la fête de la musique,au moment du tournage.

J'y ai même aperçu le bout de mon imper !!!

Pour parfaire notre connaissance du marais,

visite le jeudi matin de la Maison du Marais Poitevin,

située sur la Place de la Coutume,

qui doit son nom aux droits féodaux perçus du Moyen Age jusqu'à la Révolution.

1 h 30 de visite dans cette ancienne demeure seigneuriale

dans plus de 700 m²  avec salles d'exposition, maraiscope, librairie, boutique, ...

puis, l'heure de l'apéro étant proche, dégustation de quelques spécialités suivie d'achats bien entendu !

Retour dans le centre de la ville dans l'après-midi

avec visite de l'église de la Sainte-Trinité

qui possède une caractéristique peu commune : une chaire à prêcher extérieure

qui prend la forme d'une tour à auvent,

et balade en petit train,

le temps de se laisser véhiculer une dernière fois dans le marais.

  Une petite "semelle" avant de rentrer et d'entamer la belote,

avec pour la première fois du séjour, dîner sous l'auvent ... le beau temps serait-il de retour ?

Après-midi un peu plus clémente, ( après une matinée plus que bruineuse),

pour la visite du château de la Gataudière,

vaste gentilhommière du XVIII^ème, entourée d'un parc immense,

érigée par François de la Gataudière, ingénieur du roi,

qui découvrit le caoutchouc en 1747 au cours d'une mission en Guyane,

et meublée Louis XIII, Régence et Louis XV.

Le guide n'est autre que le propriétaire du château, descendant direct de Murat.

Puis direction Fouras,

à quelques encablures de l'île d'Aix,

où nous nous installons pour 2 nuits au camping du Cadoret.

Après l'épisode mémorable de l'embout de la prise électrique !...,

marche en bord de mer jusqu'à la plage nord

à la recherche de la ligne de bus, et de la station,

 nous permettant le lendemain matin d'atteindre l'embarcadère de la Pointe de la Fumée.

Repas au restaurant du camping, soirée belote, nuit réparatrice

et aux premières heures, équipés de nos vêtements de pluie

 - pour ne pas changer-

 nous embarquons pour l'île d'Aix,

avec une bruine qui a tendance à s'intensifier au fur et à mesure où nous avançons ! ...

Cette île forteresse,

éminemment stratégique,

reste un lieu de charme, aux paysages multiples,

marais, prairies, bois de pins et de chênes verts, plages de sable fin, ...

Le marcheur y est tranquille : pas de voiture !

Et partout, l'ombre de l'empereur ...

Le bourg et sa place d'Austerlitz,

ses petites rues où s'épanouissent les roses trémières,

l'atelier-boutique de la nacre,

l'église Saint-Martin et sa crypte.

 Avec le soleil revenu, nous pouvons déjeuner en terrasse avant de visiter le Fort Liédot,

élevé à partir de 1810 sur le point culminant de l'île,

fort que Napoléon voulait imprenable et indestructible.

Il fut dès le milieu du XIX^ème siècle reconverti en prison, 

Ahmed Ben Bella fut son dernier détenu de 1959 à 1961.

Enfin, dernière visite de la journée,

le Musée Napoléonien,

maison dans laquelle Napoléon passa ses derniers jours sur le sol français,

avant de reprendre le bateau,

contents de notre journée (pas trop arrosée)

et impatients de reposer nos jambes !

Après la Vendée,

la Charente Maritime et plus spécialement la Saintonge,

où nous choisissons de nous arrêter au Hameau de Pirelonge, 

à Saint-Romain de Benet,

au domaine de Brillouet, étape France Passion.

Marche jusqu'à la tour de Pirelonge,

 plantée au milieu des vignes.

"La fonction de  cette construction romaine,

en partie coiffée de pierres sculptées d'écailles,

 située au bord d'une voie romaine,

reste mystérieuse : borne ou monument religieux ?"

Les explications du propriétaire ne nous éclairent pas vraiment !...

Puis retour à la distillerie,

avec visite du musée des alambics

et présentation  du travail des vignerons et des distillateurs d'alcool par le maître des lieux.

Impossible de rentrer au camping-car sans quelques achats de cognac et de pineau ! ...

Peu de trains circulent sur la voie ferrée toute proche,

la nuit sera tranquille.

Quelques  kilomètres et nous voilà arrivés au zoo de La Palmyre,

tout va bien : pas de problème de stationnement et  le temps reste clément.

Ce parc animalier qui accueille environ 1600 animaux, dont des espèces rares,

est particulièrement bien tenu et surtout bien pensé ;

 en effet, les animaux sont toujours très accessibles.

Flamants roses,

 girafes, zèbre(s), éléphant(s), rhinocéros, hippopotames, ...

tamarins,

grue(s),

ibis,

calao(s), ...

 ours polaire(s) dans leur bassin,

 grands singes, ...

 vivarium avec crocodiles, pythons, tortues, ...

sans oublier le repaire des chauves-souris.

Une balade particulièrement agréable voire relaxante dans cette forêt de pins et de chênes

avec un parcours réalisable par tous. 

Hélas la promenade se termine avec la pluie

et ce n'est qu'en fin d'après-midi que nous pourrons flâner sur le chemin suivant la côte,

à deux pas de l'aire des Mathes.

Une halte au camping de Saint-Benoît

 le temps de dîner en famille

 et de récupérer Théo pour notre première étape,

prévue au Puy du Fou.

Un arrêt au Mont des Alouettes pour la visite du moulin restauré,

(on en comptait 7 à l'origine),

puis installation sur l'aire réservée aux camping-caristes ;

 nous y retrouvons, Yves (un copain d'enfance de Michou) et Geneviève, venus également avec leur petit fils.

Rencontre fortuite bien sympa ...

bavardages, jeux,

 nuit tranquille

avant une première journée un peu fatigante !

Arrivée sur la place du bourg 1900 et ses automates musiciens,

avant de nous diriger vers le carroussel

 pour le spectacle du Mousquetaire de Richelieu,

une aventure de cape et d'épée mêlant ballets flamencos et prouesses équestres,

spectacle vraiment spendide! (à recommander ...)

   Le ciel menaçant nous laisse  en paix pendant leSecret de la Lance,

 chevauchée médiévale à grand spectacle entre magie et surnaturel,

avant notre repas au Bistrot de la place.

Ensuite le Signe du Triomphe,

et ses incroyables  jeux du cirque dans le grand stadium gallo-romain, 

 et Les Vikings attaquant, avec leurs drakkars,  le Fort de l'An Mil.

 Pour échapper aux petites averses ayant  tendance à un peu trop se répéter

nous cherchons des spectacles abrités

 comme l'Odyssée du Puy du Fou,

spectacle interactif nous permettant de traverser les siècles, des romains à nos jours,

 et le Chemin de la mémoire,

leçon d'histoire racontant les guerres de Vendée.

Jambes lourdes et pluie nous incitent à un retour au Delfin en fin d'après-midi,

mais...  nous avons encore une 2^ème journée pour de nouvelles aventures !... 

Un petit tour jusqu'à Olonne-sur-Mer sous une pluie battante 

pour rendre visite à Christian et Marie-France

et balade en voiture à la découverte des Sables d'Olonne.

Nous quittons nos hôtes avec le soleil retrouvé  pour rejoindre le grand parc

en espérant un retour au beau temps pour la Cinéscénie du vendredi soir ...

  Brume au réveil,

avec, pour commencer cette seconde journée,

 un retour au carroussel pour revoir le Mousquetaire de Richelieu,

et ses effets spéciaux .

Promenade jusqu'au  village XVIII^ème,

avant d'arriver au Bal des Oiseaux Fantômes.

Repas dans notre restaurant Belle Epoque,

(nous avons nos habitudes !)

promenade dans la Cité médiévale

et au Fort de l'An Mil.

avant le concert des Musiciens Traditionnels.

 Un peu de repos après quelques instants passés au bord du lac et ses grandes eaux

en attendant le spectacle grandiose du soir,

qui, pour notre grande joie, a pu se dérouler sans pluie dans la douceur de la nuit.

  1200 acteurs sur une scène de 23 hectares, 8000 costumes, ...

un grand spectacle de nuit devenu en plus de trente ans un mythe immanquable

 dont on ne se lasse pas !